Les particularités de l’édition japonaise de FF7 Rebirth

Alors que l’univers des jeux vidéo vient de s’enrichir avec la sortie mondiale du dernier opus de la célèbre saga Final Fantasy 7 Rebirth, un détail inhabituel concernant la version japonaise a attiré l’attention des passionnés. En effet, cette édition japonaise se distingue par une caractéristique insolite qui pourrait bien faire augmenter sa valeur sur le marché des collectionneurs dans les années à venir.

Une sortie remarquée pour Final Fantasy VII Rebirth

Récompensé comme étant le jeu le plus anticipé de l’année lors des Game Awards 2023, Final Fantasy VII Rebirth permet aux joueurs de poursuivre les aventures du groupe AVALANCHE au-delà de Midgar, avec Cloud et ses alliés reprenant leur lutte contre Séphiroth, l’emblématique antagoniste. Les joueurs découvrent de nouveaux territoires sur la planète Gaïa, font face à de puissants ennemis, affrontent des boss exclusifs et découvrent des secrets captivants. En raison de sa riche durée de vie et de la conséquente taille des fichiers, le jeu est commercialisé sur deux disques, un format déjà utilisé pour le précédent opus, FF7 Remake, sur la PlayStation 4.

Un imprévu qui fait des vagues

Cependant, un imprévu a marqué l’édition physiquement japonaise de FF7 Rebirth. Alors que normalement, un disque sert de support pour l’installation du jeu et l’autre pour le démarrer, les étiquettes des Blu-Rays ont été inversées lors de l’impression. Bien que cette erreur ne compromette pas la possibilité de jouer, elle a suscité la surprise et l’étonnement parmi les joueurs japonais le 29 février 2024. La compagnie Square Enix a même dû publier une annonce pour clarifier ce petit incident. Malgré tout, cet échange d’étiquettes n’affectera certainement que le premier tirage du jeu, conférant à ces exemplaires un caractère exceptionnel et potentiellement plus précieux.

La saga Final Fantasy continue de fasciner et de s’enrichir avec cet épisode, mélangeant nostalgie et nouveautés. Les éditions comme celle-ci, porteuses d’une petite histoire particulière, nous rappellent que chaque objet culturel est unique et que les petites imperfections peuvent parfois devenir de grands atouts. Puisse ce trésor imprévu égayer les collections futur.


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